Tintin, le magazine des jeunes de 7 à 77 ans, n'échappe pas à la prise de conscience de la presse française de l'existence des Beatles et de tout ce qu'ils suscitent Outre-Manche.
L'article s'intitule "Une vent de folie souffle sur l'Angleterre" : tout est dit !
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L'hebdomadaire les présente donc à ses lecteurs avec un retard de deux semaines après la fin du séjour parisien des Beatles à l'Olympia.
Et l'auteur de l'article de prendre pour argent comptant ce que la presse nationale a rapporté au lendemain de la première, à savoir que l'accueil
du public avait été mitigé. Il occulte tout ce qui s'est passé les jours suivants et jusqu'au terme des trois semaines, phase au cours de laquelle les fans français
- essentiellement des garçons - étaient au rendez-vous une fois que les notables parisiens et autres invités avaient laissé la place.
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La présentation n'est pas très longue et se démarque de fait d'éléments de langage que l'on verra un peu partout.
Cela n'empêche pas de servir quelques saucisses bien dodues :
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- Ringo n'a fréquenté aucune école des trois autres.
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- A un an près, c'était bon. Quant à "PS I love you" (tiens ? "love" a eu droit à un "e" cette fois-ci), très étonné d'apprendre
qu'il s'agit de la reprise d'un vieux succès.
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