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Pour "Salut les Copains", les Beatles ne méritent toujours pas d'article et pourtant ils sont présents à plusieurs endroits de ce numéro.
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D'abord par les paroles d'un titre de Dick Rivers. Une adaptation de la chanson "Misery"
qui démontre que l'homme à la banane inoxydable était, à sa façon, un précurseur.
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Ensuite dans un article consacré aux Missiles où on parle des "fameux Beatles anglais".
Ils ne sont pas encore assez fameux pour que le magazine daigne leur consacrer plus qu'un entrefilet.
Au passage, une apostrophe ingrate envers Sheila, une artiste qui fera les beaux jours de la rédaction de Salut les Copains quasiment chaque mois,
sur toute la durée de vie de la revue.
Enfin, "Twist and Shout" est toujours au classement des titres anglo-saxons les plus demandés. Il gagne même deux places mais ce n'est pas assez pour que le magazine
daigne consacrer un article aux Beatles. Quoi ? Je l'ai déjà dit ?
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