L'Express n° 731 - 21 au 27 juin 1965

John se soulage chez Dunchamp et compose au pianocktail de Vian, rien d’étonnant à ce qu’il ait croisé la route de Yoko.
A saluer l’exploit de traduction de cette prose préfacée par Paul : " Tout cela n’a aucun sens, c’est ce qui en fait la drôlerie".

Extrait de " In his own write" :
At the Denis

Madam : I have a hallowed tooth that suffer me grately

Sir : Sly down in that legchair madam and open your gorble wide – your mouse is all but toothless.

Madam : Alad ! I have but eight tooth remaining

Sir : Then you have lost eight three.
Extrait de la traduction (voir en fin d'article) :